
Au delà de l'Algérie, c'est la politique internationale qui risque d'être redessinée avec l'arrivée d'un ou d'une candidate de la nouvelle génération à la tête de la diplomatie française.
Le consensus gaullo-mitterrando-chiraquien qui assure la continuité et l'indépendance de la politique étrangère française risque de voler en éclats. Bien que les questions de défense et de diplomatie soient peu présentes dans la campagne, les candidats vont devoir clarifier leur conception sur l'un des domaines réservés du poste auquel ils aspirent.
refusant la repentance et privilégiant la souffrance des rapatriés par rapport aux peuples colonisés, ne vont pas encourager la signature du traité d'amitié en projet entre les deux pays.